Un groupe de scientifiques du Cavendish Laboratory et d’AMOLF (Amsterdam NL) a découvert qu’il est plus difficile qu’on ne le pense d’améliorer l’efficacité des cellules solaires en y concentrant davantage de lumière solaire, mais ils ont découvert d’autres moyens d’améliorer le captage de l’énergie solaire partout sur la planète.
Les chercheurs ont voulu savoir si les cellules solaires, dispositifs qui transforment la lumière du soleil en électricité, pouvaient être ajustées pour mieux fonctionner dans différentes parties du monde où la concentration de la lumière du soleil peut être plus élevée. Pour ce faire, ils ont utilisé des modèles d’apprentissage automatique et des réseaux neuronaux (IA) pour comprendre comment le rayonnement solaire se comporterait en différents points de la Terre.
Ils ont intégré ces données dans un modèle électronique pour calculer la production de cellules solaires. En simulant différents scénarios, ils ont pu prédire la quantité d’énergie que les cellules solaires pourraient produire en divers endroits du monde.
Ainsi, les panneaux solaires peuvent se plier et se replier comme des origamis ou devenir partiellement transparents pour s’intégrer parfaitement à l’environnement et faciliter leur installation. En augmentant la durabilité et la polyvalence de ces panneaux, ils peuvent être intégrés dans un large éventail d’environnements, ce qui est un gage de longévité et d’efficacité.